Le Marquis de Sade – Justine ou les infortunes de la vertu (1791)

Je n’avais jamais entendu parler des “Malheurs de la vertu” avant qu’une amie explique son prénom par le goût de ses parents pour le Marquis de Sade. Un épisode de “Ça peut pas faire de mal” consacré à la littérature érotique et les quelques séances que Michel Onfray a dédié à Sade m’ont décidé à entamer “Justine”. Un long roman, sur lequel j’ai un avis plutôt mitigé.

Il se saisit de mes bras, il les lie sur mes reins,puis il passe autour de mon cou un cordon de soie noire dont les deux extrémités, toujours tenues par lui, peuvent, en serrant à sa volonté, comprimer ma respiration et m’envoyer en l’autre monde, dans le plus ou moins de temps qu’il lui plaira. p329

From Tim Richnmond’s Winn Dixe

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